(LAG-UQ) À l’UQAM, quatre chercheurs vont se partager 2,2 millions $ des Instituts de recherche en santé du Canada pour des projets concernant l’efficacité de prescrire de l’activité physique aux aînés en milieu hospitalier afin de prévenir la perte de mobilité. Les trois autres projets vont se pencher sur la santé mentale et sociale des jeunes adultes victimes d’intimidation à l’école, sur les effets à long terme de l’utilisation des contraceptifs oraux durant l’adolescence et sur l’organisation cognitive des souvenirs de maltraitance. Par ailleurs, un don sur 5 ans de 500 000 dollars de Tamar et Patrick Pichette (B.A.A., 1987) permet la création de la Chaire de recherche Eau et conservation du territoire.

 

Du côté de l’INRS, c’est 1,2 million de dollars qu’une douzaine de professeurs vont recevoir pour des travaux allant de « la signification sociale de l’argent » à la détection de fuites sur les ouvrages hydrauliques en terre en passant par des recherches en nanomédecine.

 

Et l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) se réjouit de la hausse significative des subventions de recherche en sciences humaines et sociales, recherche-création ainsi qu'en sciences de la santé, octroyées en 2018-2019. En effet, jamais l'UQAT n'aura atteint un montant aussi élevé avec 1 473 729 $ octroyé en 2018-2019.

 

Érosion côtière et changements climatiques : plus de 50 personnes mènent des travaux au sein de la Chaire de recherche en géoscience côtière de l’UQAR. Une masse critique sans équivalent au Canada et une flotte opérationnelle de recherche en sciences côtières et environnementales unique au monde. « Le Laboratoire de dynamique et de gestion intégrée des zones côtières est doté d’équipements de pointe permettant aux chercheuses et aux chercheurs de la Chaire en géoscience côtière de suivre de près l’évolution de l’érosion côtière. Plus de 7 200 stations de mesure et une cinquantaine de caméras sont réparties sur l’ensemble du Québec maritime. En outre, plus de 5 600 infrastructures, plus de 200 km de routes et près de 90 km de voies ferrées réparties dans les régions de la Capitale-Nationale, de la Chaudière-Appalaches, du Bas-Saint-Laurent, de la Gaspésie et les Îles-de-la-Madeleine et de la Côte-Nord sont scrutés par un réseau de suivi des infrastructures vulnérables à l’érosion. » L’UQAM et le Cégep de l’Outaouais collaborent aussi aux travaux de recherche.

(Cette rubrique est une collaboration LCP-LAG et le réseau de l'Université du Québec)

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